Une silhouette

Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 21/01/2006

Le soleil était haut dans le ciel,éclairant avec intensité la ville.Chauffant comme au plus beaux jours les murs et le sable,créant une vrai fournaise à laquelle les habitants étaient habitués.A cette endroit de la ville,on pouvait voir le désert s'étendait à perte de vue,semblant prêt à dévorer le premier imprudent qui s'y aventurerer.Pourtant un silhouette indistincte,s'approchait à pas régulier de la ville.

Avec la chaleur qui se dégageait du sol,causant des phénomènes d'optiques,la silhouette semblait être coupé en plusieur partit qui bougaient indépendamment du reste du corps,pourtant l'homme continuait d'avancer et arriva finalement dans la ville.

Deux gardes s'approchèrent du nouveaux arrivant pour l'examiner,leurs armes bien en vue,pour l'impresionner.L'un se plaça devant lui,tendis que l'autre se positionner derrière lui.C'étaient tout les deux des colosses,dont l'un portait fièrement une cicatrice au visage.Celui qui fessait fasse à Pell prit la parole.

"Dit l'étranger tu n'aurais pas des armes sur toi par hasard?Quoi qu'il en soit on doit te fouiller,alors tiens toi tranquille et tout iras bien."

L'homme enleva sa capuche et posa son regard perçant sur le garde qui fut surpris mais se ressaisit et accrochat le bras de l'étranger.Celui ci ce dégagea de l'emprise du colosse,d'un simple geste,le fessant tombé au sol par la même occasion.Le garde se releva et menaça Pell de son arme tout comme le fit son compagnon.Le jeune homme regarda ses deux adversaires puis pritla paroles.

"Je vous demanderez de ne pas me toucher cela m'irrite fortement.Ensuite pour répondre à votre question,oui j'ai des armes,et alors?"

Il avait dit cela d'une voix calme et posée,comme si de rien n'était,comme si il n'y avait pas deux hommes monstrueux qui le menaçait de leurs armes.

Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 21/01/2006

Les deux gardes tendaient leurs armes à bout de bras,comme pour toucher un fauve que l'on croit mort sans en être certain,tremblant de peur,ce n'était pourtant pas la carrure de l'homme qui pouvait effrayait ces deux colosses,mais plutôt le calme avec lequel il leur fessait face.Il ne devait pas arriver souvent qu'on leur résiste de la sorte,et il y avait dans cette nouveauté une réalité encore plus terrible,qui voulait que cela puissent très bien se reproduire...
Sans leur laissés le temps de réfléchir et de retrouver leur sang froid,l'étranger reprit la parole sur le même ton calme et neutre que précédemment.

"Bon eh bien je crois que nous sommes dans une impasse.Ah quoi bon se battre puisque qu'il ne fais aucun doute que je vous vaincrez aisément...

Ces derniers mots dit avec une désinvolture certaine,firent hurler les gardes qui étaient de plus en plus perdu.Comment cette avorton pouvait il être si sur de lui et de sa victoire,contre deux gardes surentrainé.A vrai dire lui même n'était pas sur de battre les deux hommes mais il n'oubliait jamais l'aspect psichologique des batailles et il savait comment manipulé ses ennemis et leurs faire perdre tout leurs moyens.Le garde,toujours le même,reprit la parole criant presque,des gouttes de sueurs perlant sur son front.

"Espèce de batard,tu crois vraiment pouvoir nous battre?Si on le voulait on pourrait appeler d'autres hommes à nous et tu serrez perdu d'avance...

Tu admet donc qu'à vous deux vous ne pouvez rien contre moi et que vous avez besoin d'aide.
Contre-attaqua t'il,un petit sourire railleur au coin de la bouche.

Non je dissais juste que je pourrais appeler des renfonrts.
Tenta de riposter le garde,dont la verve était bien moins aiguisé que celle de son adversaire qui répondit du tac au tac.

Mais je vous aurez tuées avant que les renforts n'arrivent.

Ce fut la goutte d'eau qui fit débordez le vase,le garde se rua,tel un taureau fou sur l'étranger,à grand renfort de cri bestiaux.Mais son attaque guidées pas la colère était veine et l'homme évita la lame en se déplaçant sur le côtés avec une agilité féline,puis dégainant son épée il assoma son adversaire d'un coup de la paume de son arme sur la nuque du malheureux qui tomba tel une masse assomé.

Son camarade n'avait pas réagit,pétrifié,il regardait le corps étendu au sol,et le vainqueur qui lui tournait le dos,l'épée pendant au bout de son bras.L'étranger retourna sa tête,dévoilant une nouvelle fois ses yeux,deux bouts de soleils qui foudroyait ses adversaire,et tendit son bras,l'épée en avant menaçant le dernier obstacle qui ne tarda pas à détaler,en laissant derière lui son arme.

Pell aurait préféré que tout cela se passa autrement,mais ses deux hommes l'avait exaspéré au point qu'il avait voulut leur donner une leçon quitte à y laissé la vie,mais il avait certainement surestimé ses adversaires.Néanmoins ils avaient vus ses yeux et cela était fort regrettable,en effet peu avait cette particularité et il ne serrait pas difficile de le retrouver.Son entrainement aller lui servir car il allait devoir se passer d'un de ses sens pour mener à bien sa mission...