un nouvel arrivant

Assassin Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 04/09/2005

Le soir tombé tandis qu'une silouhette solitaire s'approchait des portes de la ville. On ne voyais de lui qu'une cape qu'il le recouvrait totallement, la capuche relevé sur sa tête. Il était ainsi protégait des roayons du soleil le jour et de la fraicheur du soir qui arrivait à présent. Mais cela dissimulait aussi son visage, tandis que la silouhette était normal même si dure à juger vu que la cape lui moullait pas le corps. Il ressemblait à une sorte de pélerin voir une personne qui se serait égaré, trainant un peu du pied. En faite, il aurait put trés bien marcher de son pas vif et alerte habituel mais il ne voulait point se faire remarquer voir trahir la couverture qui allait prendre. Il était un assassin mais cela se disait pas au premier venu et donc il avait décidé de jouait un autre personnage. Il avait en tête déjà une ou deux histoires à proposer selon son publique. Il était venu la poussé par la curiosité et aussi le sentiment qui pourrait peut être s'y faire une place. Pourrait il s'installer en cette ville et arrèter pour un temps d'errer?Cette perspestive l'attirait autant qu'elle le faisait frémir, ayant perdu l'ahbitude d'une vie sédentaire. En tout cas en cette ville vivait une reine qui devait avoir quelques ennemis d'aprés ses sources. Et nul doute qu'il pourrait en tiré profit, en entrant soit dans un camps soit dans l'autre. En tout cas il en était pas la et le première étape etait de pénétrer dans la cité. Et donc aprés une courte halte pour observer la cité, il marquat une fausse hésitation pour d'éventuel temoin, puis repris son avancé toujours avec ce même pas un peu trainant mais ayant repris un peu de vigeur.

Masara était sortit du harem, il y a quelques heures de cela comme de raison sans en avoir la droit, mais comme à ses habitudes elle ne s’en faisait pas pour si peu. Elle avait erré un peu partout dans la ville pendant que la nuit tombait tranquillement. Elle sous une cape robe d’un brun foncé, elle portait toujours ses vêtements royaux qu’elle avait bien fait attention de couvrir le mieux possible avec sa cape. Elle errait depuis un moment dans les dédales de rue quand elle aperçut un garde royal

*Tiens, tiens, mais que fait-il la lui*

En tâchant de bien rester dans l’ombre, elle s’approcha de l’homme qui semblait se diriger vers un endroit précis, car il marchait rapidement en tournant de tous les côtés. La jeune fille dut courir pour suivre son pas rapidement, soudainement il s’arrêta où il y avait un autre homme et semblait discuter avec lui. La jeune Layla s’approcha un peut plus pour comprendre ce qu’il racontait, quand elle accrocha une colonne de panier tous empiler un sur les autres qui s’écroula en un grand bruit.

*Me*** * pensa-t-elle presque amusée quand les deux hommes se retournèrent vers le bruit.

« Qui va là? » s’écria la garde.

Avant qu’il ait pu s’approcher, la jeune femme s’enfuie en flèche à une vitesse phénoménale. Elle courait entre les rues sans trop regarder ou elle allait seulement ne pas être prit par un garde qui jouait à un jeu trop louche pour que la princesse garde cela pour elle, mais à qui pourrait-elle dire qu’elle avait vu un garde en dehors du temple à une heure aussi tardive quand elle-même ne devait pas le quitter. Elle ne regardait même pas en arrière pour voir si l’homme la suivait son seul but était de partir le plus loin possible. Elle filait si vite qu’elle ne savait plus vraiment ou elle se trouvait dans la ville quand soudain, elle heurta quelque chose ou quelqu’un enfin, elle n’eut pas le temps de se rendre contre de quoi que se soit qu’elle fut projeter en arrière. Elle remit précipitamment sa cape sur sa tête et regarda ce qu’elle avait frappé ou plutôt qui elle avait frappé…

Assassin Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 04/09/2005

(désolé pour le retard de réponse Embarassed

)

Il avait pénétré dans la cité sans avoir de problèmes ne croisant pas âme qui vive. Il aurait pensait à un controle aux portes de la ville mais cela n'avait pas été le cas. Bizare, se dit il en lui même, que la sécurité soit pas plus renforcé dans la ville ou se trouve la reine, surtout aprés les rumeurs qui sont parvenu à mes oreilles. En tout cas cela l'arrangeait bien tout en faisant attention de ne point se trahir car on ne savait jamais ce que les ombres réservaient. Il s'arreta pour semble t il tourner la tête pour observer un point qui avait attiré son attentionquand.... boum. On venait de lui rentrer brutallement dedans, le faisant reculer pour pas tomebr à terre sous le choc. Il se maudit de son manque d'attention en lui même tandis que par reflexe il porta une main à sa bourse vérifier si elle était toujours. Toujours par reflexe, venu de longues années d'entrainement et pratiques qui l'avait conditionné, il porta son regard sur la personne qui l'avait bousculée son autre main prêt à récupérer sa dague dissimulé sous sa cape, qui les dieux soient loués ne s'était pas ouverte au contraire de celle qui lui était rentré dedans. Il observat rapidement ce qui aurait put être une menace, ayant le temps d'apercevoir le visage d'une femme avant qu'elle remette sa capuche.

Sa bourse étant toujours à sa place, ce n'était pas une voleuse mais le jeune homme resta en alerte, prêt à fraper d'une main tandis qu'il tendait l'autre vers la jeune femme pour l'aider à se relever. En effet remis du choc, il se dit qu'une jeune femme aussi préssé devait avoir surement des ennuis au trouse... à moins qu'elle soit juste en retard pour un rendez vous noturne avec un amant. Quoiqu'il en soit, étant jamais assez trop prudent il restait sur le quivive tandis que d'une voie douce il prit la parole.

Vous vous êtes pas fait mal?

(Tu n’as rien à te reprocher, je suis un peu pire disons... je suis désolé moi aussi… je me suis, un peu fait manger par un alligator… non sans rire… j’ai quelques problèmes de santé et 2 autres sites à gérer et enfin le temps me manque quelque peu)

Le regard de la jeune femme s’était alors posé sur un homme, à son grand désarroi donc le visage était ensevelit sous les ombres d’une cape aussi sombre que la nuit. Ce petit détail l’intrigua quelque peu, mais dans cette ville on pouvait s’entendre à tout surtout depuis quelque année, car ce genre de personnes se faisait un peu trop fréquentes. Sans que Masara ne s’en entende d’une certaine façon, l’inconnu lui tendit la main pour l’aider à se relever, mais celle-ci l’ignora totalement et se releva sans aucune difficulté comme si une brise l’avait soulevé avec douceur. Première règle à Flythia ne faire confiance à personne, ni si celle-ci vous offre son aide; on ne sait jamais qui se cache derrière de longue cape noire surtout quand le soleil dort en enfer et que l’astre de la nuit pointe son nez. De plus, la jeune femme vivait depuis assez longtemps entre ses rues malfamées pour être au courant de ce petit détail assez vital.

« Non, je ne me suis pas fait mal » dit-elle rapidement presque nerveusement.

Son regard jeta un regard précipité derrière elle et a son grand soulagement et ne vit pas le garde se pointé, une chose de faites. Ses yeux sombres revint aussi rapidement sur l’homme. Maintenant, il fallait qu’elle trouve comment se débarrasser de cette compagnie, mais la curiosité de la jeune princesse pris malheureusement le dessus. Que pouvait bien faire un tel homme à une heure aussi tardive dans ses rues, c’était aussi louche que de voir une princesse en dehors du palais à cette heure, mais c’était un détail qui inquiétait le moins du monde la petit Layla.

« Que faites-vous ici? » dit-elle d’une voix sèche, sans aucune gêne et démontrant qu’elle ne lui faisait en aucun cas confiance.

Elle le sonda du regard essayant de détecter le moindre signe de faiblesse, de nervosité ou d’attaque, mais le tissu onduler de la cape ne laissait rien voir de suspect. Masara restait sur ses gardes et ne le cachait pas, on pouvait le percevoir dans ses mouvements.

Assassin Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 04/09/2005

(merci

et soigne-toi bien j'espère que ca va allait Pom

)

Il regardât semble-t-il la jeune femme se relevait, qui ignorât totalement sa main tendue. Elle se méfiait comme lui qui lui avait tendu sa main gauche, la main qui ne frappe pas en théorie et signe que lui non plus à la base ne lui faisait pas confiance.

Il comprenait son comportement et cela ne l'offusquât pas vraiment, mais pour une fois qu'il était sympa, il fallait que ca soit un échec. Il haussât mentalement les épaules et décidât, avec un petit sourire en coin dissimulé par l'ombre de sa capuche, d'en jouer. Il tournât la main qu'il avait tendue, paume vers lui comme pour l'examiner et cherchait ce qu'il clochait pour pas qu'elle la prenne. Puis il l'agitât un peu comme pour en chasser une poussière imaginaire avant de l'examiner à nouveau et la rentrer sous sa cape. Par ce mouvement on pouvait voir la moitié gauche et ainsi voir qu'il portait une tenue des plus normal, sans atouts et on aurait put l'assimilé à la classe moyenne. Sa cape se refermât sur lui après cette petite comédie, pour se moquer un peu de la jeune femme, mais qui aurait été mal avisé de protester vu son propre geste d'impolitesse. Cela équilibré les choses et Ani appréciait cela. Ton orgueil, lui soufflât une petit voie, méfie toi en, tu ne sais pas qui elle est.

Il nota son coup d'œil en arrière et en déduit qu'elle devait être poursuivit. Une jeune femme fugueuse de sa famille ? De son mari ? En tout cas elle allait peut être retrouvait une aide dans sa fuite et cela abrègerait les choses. Ce qui ne le dérangeait pas outre mesure voulant pas trop s'attarder, même si elle pouvait lui être utile à trouver son chemin se dit-il. Il ne pouvait plus voir le visage de cet inconnu, qui avait remis sa capuche, mais remarquât sans peine, tellement elle ne faisait rien pour le cacher, sa méfiance. Cela l'amusât un peu, trop sur de toi se morigénât-il mais quand même plus fort que lui. Il sentait ou devinait un regard qui le scrutait de la tête au pied. En tout cas, elle pouvait agir comme un animal traqué et devait se méfiait, et ainsi il ne baissât pas sa garde même s’il ne montrait aucun signe d'hostilité. Il semblait presque être une statue, d'un calme allant parfaitement avec la nuit qui les entourait. Il était tel le cobra tandis qu'il fit une moue devant la question de la jeune femme. Elle devait être une fille de la noblesse pour être ainsi hautaine et aurait dut la jouait tête baissée mais décidât que son personnage ne pouvant le devinait, il pouvait jouer les ignorant quant à son statut. Et ainsi d'un ton amusé il lui répondit.

"Salutation à vous aussi" dit-il afin de la saluer et de lui démontrer son manque de politesse avant de poursuivre j'essaye d'éviter qu'on me rentre dedans dirais-je pour l'instant et vous-même ? Il était un tantinet ironique dans ses paroles, tout en ne rajoutant pas quand même un "et vous que faites-vous à part bousculer les gens ?" même s’il en fut tenté.

Nombre de messages : 70 Date d'inscription : 18/08/2005

(Bon et bien je crois que c'est à mon tour...)

Garde

Comme chaque nuit, il effectuait sa patrouille. Comme chaque nuit...il s'ennuyait à mourir. La jeune homme, en s'engageant dans la garde, croyait qu'il pourrait arrêter des voleurs, et peut-être même des tueurs! Et là, les filles tomberaient comme des mouches à ses pieds... Il se secoua. À quoi servait-il de rêver? Depuis qu'il s'était engagé, il ne s'était rien passé, absolument rien. Le néant. La nuit était silencieuse, les étoiles et la lune éclairant ses traits.

Soudainement, son sang ne fit qu'un tour dans ses veines. Avait-il vraiment entendu un bruit? Le silence lui répondit. Se maudissant intérieurement, le garde se demanda si il ne commençait pas à devenir fou. Tout à coup, une voix retentit. le garde s'immobilisa. Cette fois, il en était certain, il y avait quelqu'un dehors! Son coeur se mit à battre plus vite. Des personnes qui discutaient à cette heure devaient à coup sûr être des malfaiteurs. Un frisson d'excitation le parcourut. La jeune homme s'aplatit contre un mur et écouta. En fait, il y en avait même deux! Une voix d'homme et une voix de femme. La prise du siècle! Et en plus, si l'envie lui prenait, il pourrait négocier la liberté de la fille avec quelques faveurs sexuelles... L'excitation était à son comble. Avant de sortir de l'ombre, il prit le temps de sortir ses armes... Il compta jusqu'à trois.

Puis, il déboula dans la ruelle où se trouvaient les deux malfaiteurs. L'épée dans la main droite et la lance dans la main gauche, il prit une voix autoritaire et s'écria:

"Ne bougez plus!"

Ensuite, il se rapprocha en courant. Lorsqu'il fut suffisament près pour voir...ou ne pas voir puisque les deux individus portaient une capuche, les voleurs, il s'arrêta. Il observa la plus petite des formes à la dérobée. La svelteur du corps lui donnait plein d'idées... Mais il se reprit et se concentra. Il reprit à nouveau la voix autoritaire et demanda durement:

"Qui êtes-vous et que faites-vous ici?"

En son fort intérieur, il souhaita qu'ils refusent de coopérer. Ainsi, il pourrait les amener de force au palais et les faire comparaître devant le tribunal...peut-être même devant la Reine!! Le garde gonfla le torse et attendit que ses deux malfaiteurs réagissent.

(Merci Ani… Sorry!! Milles fois désolées… vraiment désolé)

Masara regarda l’homme faire sa petite comédie avec un sourire amusé dissimulé sous l’ombre de sa cagoule. Mais qu’essayait-il de prouver? De toute façon, la petite princesse ne s’en souciait guère. Elle s’en faisait plutôt sur le fait d’être là au milieu d’une rue en compagnie d’un parfait inconnu en sachant très bien qu’elle aurait l’intérêt de ne pas traîner là encore plus longtemps. Si lui était inoffensif ce qui n’était pas encore prouver, la ville regorgeait de brigands et même… de gardes que la jeune fille espérait du moins du monde rencontrer. À la réponse du jeune homme, Masa émit un rire bien présent et elle répondit de sa voix cristalline :

« Je tente de ne pas bousculer les gens et vue la façon dont je vous aie… disons…heurté, je crois que j’ai un quelque peu faillit à ma tâche...»

La jeune Layla laissa alors flotter au-dessus d’eux un silence qui fut rapidement briser par une autre voix qui la fit sursauté. Elle se tourna brusquement et put apercevoir le garde s’approchant. Une voix se mit à crier dans sa tête un grand et clair : Non! La jeune fille se mit à penser rapidement. Son esprit fit quelques boucles dans les airs et se mit à tourné tel une tempête déchaîner… Elle pourrait clairement faire savoir au garde qu’elle état la princesse Layla, mais elle ne pouvait pas le faire devant cet inconnu et sa confiance envers les gardes était plutôt limitée, du moins très limité. De plus dès que sa mère saurait qu’elle à la fâcheuse manie de quitter le palais durant la nuit, elle aurait droit à une longue et pénible discussion et devrait se résigner à ne plus jamais sortir.

Elle pourrait fuir? Cette pensée partit aussi vite qu’elle était venue. Elle courait vite, mais tenait tout de même à sa vie et seulement le fait de voir sa lame briller au clair de lune lui donnait des frissons dans le dos. Que faire, que faire? Elle dut se résigner à ne pas répondre pour l’instant peut-être en était-il mieux ainsi… enfin Pendant ce temps, la jeune fille continuait à chercher les paroles à utiliser. Peut-être que l’inconnu trouverait-il un moyen de s’en sortir… Puis, les paroles de sa mère lui revinrent en tête : Mais ce n’est pas l’attitude d’une princesse. Bien sur que non! Ce ne l’était pas! Comment pourrait-elle se rattraper une fois qu’elle avait été aussi loin dans son aventure…?

Assassin Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 04/09/2005

(2 mois plus tard lol ca mérite bien un bisous par jour de retard dans la réponse :p)

Il sourit amusé en entendant un rire crystalin lui confimant qu'il avait à faire à une jeune femme. Il resta silencieux tout comme elle, tandis qu'il se maintenait sur le qui vive même si tout danger semblait passé. Il était detendu mais prêt à frapper quand allant des paroles d'une tierce personne lui vint à l'oreille. La premiére pensée qui lui vint à l'esprit fut que c'était un guet appens et il allait réagit quand il se retint de justesse de faire un acte inconsidéré. Il remerciat le fait d'avoir une cape ayant caché le début de son mouvement. Au lieeu de lancer une dague veers la silouhette qui se rapprochait vivement, il se tournat lentemeent vers le garde. Seul il aurait qui sait peut être réagir différement, et encore, il devait voir plus loin que le momment présent. Il se tournat donc lentement comme une perssonne n'ayant rien à se reprocher tendant même les mains en avant pour montrer qu'il nee representait nul menace. Il sourit intèrieument en se disant que décidémeent les gens était faché avec les notions de salutation dans ceette ville. Il adressat un salut qui se voulu fait pas une personne venant du moyen orient. Portant pour cela une main pour toucher son torse puis sa bouche (si je me trompee désolé :$).

Salutation noble garde de cette ville.

Autant être courtois avec un représentant de l'ordre car cela pourrait addourcit cet entretien. A présent qu'il avait décider de jouer le jeu de son personnage et non de frapper, il se devait de tourner de tels phrases. Il attendit un instant la réaction de la jeune femme tout en détaillant ce garde qui semblait être un nouveau au vu de son "entrain" à réagir. Le silence se prolongeat et Ani en vint à devoir réagir si il voulait pas que le garde leur créer des ennuyes. Il ne connaissait pas la jeune femme mais pourtant il décidat d'essayer de la tirer de la, même si il ne savait pas ce que c'était ce "la". Il repris donc la parole d'une voie douce.

Je suis un voyageur arrivé dans cette ville pendant la nuit, et ayant eu veent de son hospitalité presque légendaire, j'essaye d'y trouver refuge. Pouriez vous nous indiquer un chemin ou nous pourrions trouveer le repos que reclame un corps harassé par la route?

Il esperait avec de telles paroles endormir la méfiance du garde. Il n'aavait pas mentionnait la fille au cas ou elle voudrait interveenir et si ce n'était pas le cas et que le garde faisait une remarque, il reagirait comme tout bon homme avec une feemme objet avec lui (). Mais avant d'antticiper plus loin il devait voir la réaction du garde voir de la jeune femme.

Nombre de messages : 70 Date d'inscription : 18/08/2005

(Manque cruel d'inspi...est-ce qu'un de vous peut commencer un topic au palais?)

Le garde sentit toute adrénaline quitter son corps. Ce n'était que des voyageurs. Inconsciemment, il forma un couple des personnes devant lui. Une femme ne pouvait se promener seule. Aussi, le garde rangea-t-il ses armes. Au moins, il lui restait à les accompagner au palais. Il pourrait toujours fournir comme excuse qu'il les trouvait louche. En plus, cette version des faits lui permettrait de fouiller à corps la fille. Un mince sourire revint finalement sur ses traits. Il hocha la tête.

"Je vois...et bien si vous voulez bien vous donner la peine de me suivre."

Le garde s'écarta légèrement, sous-entendant par-là qu'il souhaitait que les deux personnes prennent les devants. Il voulait les avoir sous les yeux à chaque seconde que durerait le trajet. En plus, il pourrait tout à loisir observer le postérieur de la demoiselle. Il attendit que le couple se mette en marche avant de les suivre, direction le palais.

(On verra… tout dépendra de la tournure que prendra mon texte pour l’autre topic ^^)

Dans l’ombre de son capuchon, la jeune femme plissa les yeux en affichant un visage décourager. Merveilleuse initiative, le seul problème, c’est le fait d’être raccompagner au palais. Elle ne devait pas retourner au palais… encore moins accompagner de cet inconnu. Son cœur fit quelques bons ce qui fut assez pour l’étourdir. Premièrement, toute personne entrant dans le château devant dévoiler son visage et donner tous objets pouvait représenter un danger. En premier lieu, son visage était trop bien connu entre les murs du palais et elle traînait toujours sur elle un petit poignard qu’elle avait dérobé lorsqu’elle était petite et insouciante (et maintenant, elle est grande et insouciante).

Un sourire se dessina sur les lèvres de la jeune égyptienne. Pourquoi ne pas jouer un peu, mettre du piquant à une situation qui pouvait s’avérer amusante? Cela faisait plus d’une semaine qu’elle ne s’était pas mit les pieds dans les plats. Elle releva la tête et d’un pas sûr elle prit l’avant. Sa marche était loin de ressembler à celle d’une voyageuse de bas étages et tout allait commencer ainsi. Puis d’une voix claire, elle s’exclama :

« Mais qu’elle chaleur accablante! »

Sur ses mots, elle releva la cape de sur sa tête et la laissa tombé sur son dos dévoilant son visage gracieux. Ses longs cheveux noirs tomba doucement sur ses épaules. Sa peau basanée luisant sous la lune qui brillait sur le ciel noir, ses yeux sombres étaient soulignés de khôl, mais aucun bijoux ne pouvaient laisser comprendre qu'elle était princesse. La situation n’était pas à son avantage, mais c’était plutôt amusant. À moins que le garde la connaisse de visage, personne ne pouvait vraiment prétendre qu’elle était la fille de la reine qui régnait sur l’Égypte. De plus rare était les gardes qui connaissaient les princesses qui se retrouvaient au centre de Flythia à faire de la surveillance.

Elle jeta un regard en arrière, au garde, puis revint à l’avant. Mais qu’était-elle effronté? Une jeune femme de bas-étages qui regardait de front un homme. À cette pensée son sourire s’élargit. Elle aurait tant voulut partir à toute jambe à cet instant maintenant qu’elle voyant au bout de la route l’entrée du palais. Non ce qu’elle fit, c’est s’arrêter tout simplement net à mi-chemin un sourcil arqué.

« C’est cela le grand palais de la reine d’Égypte. Je me serais attendu à beaucoup mieux » dit-elle d’une voix digne d’un vrai petit princesse gâtée.

Son regard fixait la splendeur de la bâtisse avec dégoût.

*Que de plaisir à jouer avec la patience des gens*

« Je crois que nos chemins se séparent ici…»

Elle tourna les talons et fit face au garde.

« Vous pourrez dire fièrement à vos compagnons que vous avez pu escorter personnellement la princesse Layla à son palais… mais le seul problème c’est qu’elle n’a pas voulu s’y rendre convenablement donc vous vous êtes consentit à la laisser partir… à moins que vous voulez raconter que je vous m’avez forcé et que vous vous êtes fait surpasser par une femme, car vous ne voulez pas me contredire, car malgré le fait que je ne devrait pas être là, vous n’avez pas intérêt à me faire quoi que se soit… ni même d’y penser… on ne sait jamais ce qu’une petite princesse pourrait rapporte à sa maman. Enfin je vous conseil fortement de rien raconter… cela serait aussi bien pour vous »

D’un mouvement de bras, elle dévoila son corps de la cape la recouvrant. Sur ce même bras de nombreux bracelets d’or brillait…

Assassin Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 04/09/2005

La capuche recouvrant son visage, Ani inclinant légèrement la tête en signe d'acceptation. Il ne risquait pas grand chose à aller au palais et cela pourrait être intéressant comme visite. Il allait donc passer devant avec une hésitation normal, ne connaissant pas le chemin, quand la voie de la jeune femme se fit entendre. Il leva un sourcil intrigué sous la remarque et se tournant vers elle compris que ce n'était qu'un pretexte pour se mettre en avant. Il lui emboitat le pas se méfiant plus d'elle que du garde. Il se demandait quelle mauvaise surprise allait arrivé tandis qu'il essayer tout de même de prendre quelques repères. En tout cas la jeune fille était belle et elle le savait surement pour ainsi se mettre en avant. Tout son être dégageait une impression de noblesse, avec tout cela comporte de bon et mauvais. Il s'arretat en même temps qu'elle, à mi chemin, lui jettant un coup d'oeeil avant de regarder ce qu'elle désignait comme le palais royal. Il préférat sourire amusé de la remarque plutot négatif de la jeune femme qui semblait être une gatée pourie. Quand elle leur annoncat qu'elle comptait les laisser la, Ani se retient de se tourner vers le garde et la jeune femme, faisant minee d'observer le palais. Ainsi cela éviterais de metre de la préssion sur le garde. Il l'écoutat parler eet plaint sincèrement le garde qui se devait se retrouver sous le flot de paroles de la jeune femme. Il leva les yeux au ciel en se disant en lui même "ha les femmes". Mais au fond de lui il appréciat la facon de faire de ce qui devait être une princesse sortit faire un tour en cachette. Elle essayait de noyer le poisson afin que le garde ne puisse réagir. IL se demandat avec curiosité quel serait la réaction du garde, heureux en lui même de pas avoir dit qu'ils étaient ensemble.

Nombre de messages : 70 Date d'inscription : 18/08/2005

Garde

Le garde resta quelques instans abasourdie. il ne s'était pas vraiment attendu à ça. Bien sûr, une étrangère pouvait avoir ses caprices mais cette fille n'était pas étrangère. Son attitude...et surtout sa peau bronzé, la trahissait. Et puis, elle se présenta. Son coeur cessa de battre et son sang se glaça dans ses veines. Il devait avoir mal entendu. Pourtant, elle avait tout pour confirmer ses dires. Le ton, l'attitude, les bracelets... D'un côté, si elle mentait, il se ferait taper sur les doigts s'il la laissait partir. par contre, si elle était vraiment la princesse, et qu'il la ramenait en tant que fautive, les conséquences d'en haut se mettraient à pleuvoir. Il hésitait. Un instant, il se tourna vers l'autre homme, lui demandant implicitement son aide. Mais l'autre demeura silencieux. Comment réagir?? Intérieurement, il se dit que si elle mentait et qu'il la laissait quand même partir, personne n'en saurait rien de toute façon. L'homme soupira.

"Très bien...Majesté. Je crois dans ce cas que vous feriez bien de retourner dans vos appartements. Je crains que votre mère, notre vénérée Reine, ne soit pas très heureuse d'apprendre qu'une de ses filles se promenaient seule et sans escorte au dehors."

Le garde se tourna ensuite vers l'autre homme. Puisqu'il n'avait pas parlé, il ne devait pas être avec elle. Sinon, Masara aurait au moins essayé de le couvrir. Donc le garde en déduit que l'autre devait être réellement un malfaiteur. Reprenant courage, il le poussa rudement vers le palais et dit:

"Allez toi, on va voir si tu ne caches rien de louche."

Le duo partit vers le palais. Le garde laissait ainsi une chance à Masara de se sauver si ce n'était pas elle. D'un autre côté, il lui permettait de regagner ses appartements sans qu'il voit par où elle passait. C'était probablement la meilleure chose à faire. Toute une nuit!

*un nouvel arrivant*

un nouvel arrivant