Arrivées des élèves!!!

«Sortir du désert pour atterir ici!»s'exclama Ursule.

«C'est bien plus que je n'aurait pu imaginer» dit-elle.

Elle arrivait de l'Égypte endroit désertique où les pluies et l'abondances sont signe d'une chance inouïe. Voyant toute cette richesse s'étaler devant elle, elle ne su quoi dire de ce transport en commun qui était de loin plus beau que sa maison. Regardant par la fenêtre, elle voyait défiler des paysages enneigés.

*De la neige, quelle drôle de chose!*se dit-elle à elle même.

Sans s'en rendre compte, le temps avait filé et elle était déjà arrivé à destination, maintenant libre de tout doutes. Elle pris son maigre baguage et sorti du train miteux. Mais ce ne fut ni une Ursule rongé par le remord ni par son passé mais une Ursule rayonnante comme jamais qui sortie du train ganbadant joyeusement vers sa prochaine maison, Flythia. Puis, elle remarqua alors l'énormité et la magéstuosité des lieux et son coeur arrêta de battre un instant. D'immenses tours entouraient fièrement le chateau et une gigantesque porte ornait l'avant de celui-ci. Des fenêtres! Il y avait des fenêtres partout certaines même avec des vitraux compliqués et magnifiquement décorés.

«Seigneur, mais c'est grandiose» dit-elle à la fille la plus proche. Celle-ci aquiéssa la bouche grande ouverte avec une expression béate sur le visage.

Les cheveux blonds ondoyant fiérement dérrère elle, elle s'en alla ,tranquilement et en savourant le moment, avec son expérience vers celle de demain...

(Parfait)

Liona entendait impatiement le prochain train. C'est tous premiers élèves allaient enfin arrivé. Le vieux train grinçant finit enfin par apparaître à l'horizon. Le petit point au bout de l'horizon finit par grossir et arrêter sur le quai faites d'énormes planches de bois noirci. Mais, malheureusement le train ne recracha qu'une seule élève. La directrice s'approcha de celle-ci et la reconnue pour avoir connu sa mère. Elles se ressemblaient comme deux gouttes d'eau. Ses longs cheveux blonds était exatement comme celle de sa mère. C'était grâce à sa mère que la jeune fille avait pu se rétrouvé en 4eme année pour sa première année. La jeune directrice s'approcha de le jeune fille avec un grand sourire.

"Bienvenue, Mademoiselle Pintu, Bienvenue à Flythia" dit-elle en lui tendant la main.

"Je suis Miss. Sofly votre directrice" dit-elle doucement.

Le jeune femme était vêtu de son habituelle robe noir recouvert d'une grange cape noir. Elle portait aussi son grand chapeau noir. Ses yeux bleus foncé scrutaient la jeune préfète de tous ses recoins.

"Vous pouvez poser vos baguages dans se bac les elfes s'en chargerons" dit-elle en pointant un gros bac faites de plusieurs planches de bois vieilli pas les années et le temps.

Elle poussa une mèche blonde de son visage.

"Avez-vous faites un beau voyages?" dit-elle à la jeune Égyptienne

«Bien sur Miss. Sofly.» répondit Ursule toute exitée à l'idée de rencontrer la grande Sofly dont elle avait entendu quelques uns de ses nombreux exploits en matière de magie dans le train. Elle lui parlait, à elle! Et puis, comment aurait-elle put ne pas apprécier ce voyage, elle avait vu de magnifiques paysages et découvrait le monde pour la première fois.

Sortant de ses songes, Ursule la regarda de plus près, poussa son regard plus loin que le physique et le sourire accueillant de sa nouvelle directrice. Admirant sa grâce et son élégance. Elle découvrit une femme attentionnée et dévouée à son école.

Puis elle lui lança une question qui lui grugeait le cerveau depuis quelques heures:
«Avez-vous vraiment affronté dix sorciers maléfiques à vous seule alors que vous n'étiez que dans vos débuts?»

La jeune sorcière de put s'empêcher de laisser échapper un petit rire. C'était drôle de le voir de cet angle... dix sorciers maléfiques. Elle plongea ses yeux dans ceux de la jeune fille.

"Peut-être, sauf si vos camarades voulaient vous jouer un tour" dit-elle avec un voix amusée en laissant sa réponse en suspend.

Elle n'aimais pas trop parler de se qui lui était arrivé et adorait voir les jeunes trépigner à l'idée d'apprendre. Elle avait toujours trouver que les jeunes étaient trop curieux, mais que cela pouvait à un certain point être intéressant. Elle regarda la petite fille. La petite Ursule était tellement insignifiante, (sans être méchante bien sur ) remplis de joie et pleine d'énergie, de la merveilleuse relève pour les sorciers.

La neige ne tombait plus depuis quelque minute et le soleil éclairait le paysage féérique avec une ferveur incomparable. Le château était recouvert du voile blanc le rendant encore plus gigantesque. La directrice se demandait si le jeune fille avait froid, car Liona c'était donner un sort de chaleur pour être sur de ne pas avoir froid, mais la jeune fille devait commencer à sentir le froid sur elle.

"Et si je vous conduisait au château, vous devez commencer à avoir un peu froid" dit-elle à la jeune préfète.

Elle lui montra le château au même moment où un hippogriffe dorée se posent à leur côté. Il passa son bec dans le cou de la jeune directrice et celle-ci se retourna vers le jeune fille. Elle lui fit un grand sourire.

"Époïna vous offre d'être votre monture jusqu'au château" dit-elle en regardant les yeux apeuré d'Ursule devant cette magestueuse bête.

La jeune directrice siffla entre ses doigts si aigu que presque imperceptible à l'oreille et un autre hippogriphe d'une blanc neige sortie de nulpart et vint se poser près de d'Époïna.

"Et voici Natorh ma monture" dit-elle en flatant les plumes blanches de l'hippogriffe de ses longs doigts.

"Si vous voulez bien, je vais vous montrer comment la monter" dit-elle en lui montra Époïna du doigt.

Gadiaka arriva à la gare avec des habits déchirées en des endroits. Elle regarda autour d'elle et ne savait pas si elle était arrivée à cette fameuse école dont elle avait eu ouïe de deux femmes dans un bar. Elle s'approcha doucement, et ne vit pas grand chose. Elle déambula de droites à gauches, de guichés en guichés, il n'y avait que des gamins de 11 à 13 ans dans cette gare. Mais où avait-elle attérie ? Elle n'en savait pas, il n'y avait même pas de carte dans cette gare ni aucun adulte !
Mais là n'est pas le pire... Elle fut prise de terreur devant de drôles de créatures... Qu'était-ce ? Un bec d'aigle, des griffes à leurs pattes, c'était vraiment d'étranges choses, elles possédaient même des ailes, leurs plumes étaient dans les tons gris. Elle recula, en posant sa main sur le katana qu'elle avait emporté avec elle depuis le début, depuis un an déjà qu'elle était partie de chez "elle". Bien qu'elle avait un peu peur, son visage restait de marbre. Elle se tourna et vit la première adulte de la gare, une jeune femme en... "robe de sorcier", on se dirait dans le livre d'Harry Potter dont Gadiaka avait lu quelques passages dont celle de la gare.
Elle ne s'approcha pas de ces étranges personnes qui semblait être des exentriques en tout genre.

"Je suis où ? C'est quoi ces bandes d'émergumènes qu'on dirait sortie tout droit d'une secte !" s'écria-t-elle comme pour elle-même.

Elle vit une porte au fond du couloir, et s'en approcha avec hésitation, qui sait ce qu'elle allait trouvé derrière ? Elle l'ouvrit et tomba à la renverse car il n'y avait rien de l'autre côté, du vide, un trou noir comme dans l'espace. Elle referma aussitôt la porte en ayant l'air de tomber tout droit du ciel. Elle s'adossa sur cette porte comme pour l'empecher de se rouvrir, elle s'appercevait que certains la regardaient comme si elle-même était une folle, mais elle était pratiquement dans la normale alors qu'eux se trimballaient en robe et en châpeau de sorcier, certains avaient dans la main un bout de bois, Gadiaka se sentit tout de même plus rassurée d'avoir son katana à porter de main pour se défendre contre ces étranges créatures à formes humaines !
Elle se déplaca vers une autre sortie, à l'opposer de l'enclos qui contenait d'étranges créatures, c'était clair Gadiaka semblait penser à un rêve, et regrettait d'avoir suivit les paroles qu'elle avait juste entendu de deux folles ! Elle pensait que finalement elle était plus en sécurité loin de cet endroit qui lui semblait si hostile tellement il était étrange en rapport à la rue où elle risquait de tomber sur des espions de la famille Flyshôma.

(En passant le gare est à ciel ouvert, dehors ^^ peut importe, je vais l'écrire dans la description car je les seulement écrit dans la gare...)

La jeune directrice vu s'échapper du train un autre jeune fille un peu plus vielle cette fois si. Elle en avait entendu parler et c'était un cas à surveiller. Pour que celle-ci sois à l'aise, la directrice l'avait nommé préfète. Liona savait que Gadiaka serait capable d'assumer cette tâche, mais il fallait qu'elle prenne conscience de si qui lui arrivait, car d'après sa réaction elle ne s'attendait pas du tout à atterrir chez de réels sorciers. Voyant que la jeune fille s'énervait, Liona fit signe à Ursule qu'elle allait bientôt revenir et s'approcha de la préfète de polyphyre. Elle la prit par le bras juste au moment où elle allait partir.

"Doucement, mademoiselle" dit-elle doucement.

Par ne pas que la jeune fille pense prendre son katana pour trancher la tête de la directrice. Liona posa sa main sur le katana comme signe de confiance. Elle la prit doucement par les épaules et l’assis sur un banc à quelque pas. Elle la regarda dans les yeux.

« Alors, vous ne vous attendiez pas à vous retrouver ici je crois » dit-elle toujours avec une douce lenteur.

La jeune directrice mit la main dans la poche de sa cape noir. Elle sortie une baguette d’un bois très foncé presque noir et lui tendit.

« Je crois que cela vous appartient, chère préfète » dit-elle à la jeune fille.

(Je n'ai pas parlé du toit ^^ mais juste d'une pièce que j'ai inventé, mais si tu veux j'édite l'autre message, désolée!)

Gadiaka était en train de se rediriger vers la sortie, et c'est à ce moment-là que la seule adulte vint la voir et l'interpella et posa la main sur son katana, Gadiaka recula et restait aux aguets, mais la directrice l'emmena tout de même s'asseoir à contre coeur.

"évidement que je ne m'attendais pas à voir des gens totalement enfuit dans leur croyance, de plus vous utilisez de jeunes enfants ! J'ai horreur des sectes dans vôtre genre, et laissez-moi partir, je ne me suis pas enfuie pour attérir dans un autre monde totalement fermé !" critiqua Gadiaka sans perdre son sang froid.

Son visage était totalement neutre, sans nulle émotion, ses yeux éméttaient un sentiment de froideur et de méfiance à tout égard. Elle regarda l'accoutrument de la jeune femme qui lui paraissait être la gourou de ces monstruosités, et elle jeta un autre coup d'oeil vers les créatures étranges qu'étaient situées dans un enclos, heureusement fermé.

La directrice prit d'une poche de sa "cape" un bout de bois comme ceux que tenaient des gamins des alentours, et elle la tendit à Gadiaka mais la jeune fille que voici refusa de la prendre et se leva. Elle mit sa main sur son katana près à dégainer si la jeune dame en face d'elle osait faire quoi que ce soit. Mais, Gadiaka réfléchit à toute allure et eut une idée dans la tête.

"Très bien, j'accepte de rester ici, mais je n'entre en aucune façon dans votre manège qui semblait avoir marché sur ces gamins et gamines en tout genre je vois ! Par contre vous, vous allez me loger, et me nourire c'est tout ce que je demande." déclara Gadiaka.

Elle s'avanca vers le milieu de la pièce et regarda encore une fois ces fous qui croyaient à tout ce qu'ils voyaient. La jeune fille avait prit rapidement le bout de bois que la directrice lui avait tendu. Elle était très agile. Finalement, elle ocmmencait à penser que tout ceci allait pouvoir lui être favorable. Elle pourrait toujours aller où elle voudra, et personne ne le lui empêchera. Elle s'approcha des créatures, elle n'avait plus peur, elle commençait à prendre l'habitude de les voir, elle regarda une en particulier qui semblait s'amuser fort à tirer les capes des gamins qui passaient sans savoir près d'elle. Elle ne souria pas mais elle la trouva amusante. Elle s'en approcha et s'arrêta devant elle. La créature la regarda et semblait décue de ne pas trouver de cape à tirer. Gadiaka la fixa, sans sciller et s'en approcha doucement.

(dsl j'avait mal compris)
La jeune directrice ne comprenait pas vraiment quand la jeune fille parla d'une secte, de leur croyance et du fait qu'il utilise des enfants. Liona ne put s'empêcher de laisser échapper un petit rire. Peut-être que quelqu'un pouvait voir cela comme une secte. Mais si seulement on pouvait parler de religion. Tout le monde en ce lieu est libre de partir et de penser se qu'il veut.

Liona ne rajouta rien, car si cette jeune fille voulait penser que c'était, c'était son choix. Elle sera démentie dans quelque tant. Gadiaka finit enfin à parler de rester, mais avec une condition très minime.

"Vous pourrez même faire un travail, avoir un paye et faire des cours. Vous seriez surprit de voir tout se que se bout de bois peut faire" dit-elle en sortant sa propre baguette.

Elle ne fit rien seulement pour laisser la jeune fille dans le doute. Elle regarda et vit qu'elle s'appprochait de Poly. La sorcière fit un sourire.

"Poly" dit-elle ensuite elle dit des mots dans une langue inconnu.

Les yeux de la créatutre commençèrent à briller de malice toujours en regardant Gadiaka. Soudain, sans que la jeue fille réagisse Poly fonça sur le jeune fille tête baissé. Il passa la tête en les deux jambes de la jeune fille. Un fois la fille sur son cou l'hippogriffe déploya ses ailes et s'envola. Il se mit à planer dans la pièce.

(dsl c'est cours j'ai classe)

(No problèmo ça arrive les quiproquo )

Quand la directrice lui parla de paye, d'argent, l'esprit d'affaire de Gadiaka se réveilla et s'interressa soudainement à l'affaire. Elle allait pouvoir gagner de l'argent à dépend des autres ! C'était plutôt une bonne nouvelle, la première qu'elle eut depuis son arrivée. Ce qui lui amena à lui poser la question suivante :

"Quel genre de travail ? L'argent m'intérresse assez," continua-t-elle.

Elle n'avait pas tourné la tête c'était inutil. Elle avait continué à regarder cette créature, en imaginant le nom qu'elle pourrait avoir. La réponse lui vint dans l'esprit sans qu'elle sache comment. "Hyppogriffe". Ca sonnait bien, et ça collait parfaitement à la créature. Alors pour la première fois de sa vie, elle avait vu un hyppogriffe. La directrice qui s'était rapprochée rajouta que celle-ci, ou plutôt celui-ci se nommait "Poly", mais Gddiaka n'eut pas le temps de rajouter quoique ce soit, que Poly foncait sur elle tête baissée. Gadiaka sortit son katana mais trop tard, Elle se trouva trente secondes après à voltiger dans les airs. Ce qui était désagréable c'est qu"elle se trouvait à l'envers c'est à dire au lieu d'avoir la tête de l'hyppogriffe devant elle, elle avait sa queue. Elle décida de s'installer à l'aise, et habillement elle fit un retourné rapide et précis comme si elle avait l'habitude.

Ils planèrent une bonne dixaine de minute, dommage qu'elle ne pouvait pas emporter cette créature avec elle, elle aurait pû rester dans le grand jour sans que ses parents ni aucun autre clan puisse la rattraper. Poly décida de redecendre à la suite, et Gadiaka sauta à terre. Elle ne souriait pas, ni même ses yeux n'exprimaient nulle émotion. Elle passa sa main sur les plumes puis sur le bec de l'hyppogriffe.

"Fantastique comme créature ! Avec elle, on peut pratiquement tout faire ! Il me plaît bien, même son caractère. Félicitation mon grand !" dit-elle à Poly et à la directrice.

Elle s'éloigna vers la directrice et lui dit qu'il lui faudrait sûrement des vêtements de rechange, et du noir si possible. Elle passa sa main dans ses longs cheveux, et attendit la réponse de la directrice devant elle. Elles étaient de même taille, Gadiaka était aussi très grande pour son âge. Elle regarda les élèves arrivaient et les trouvait toujours aussi chétifs et fragiles. Elle les méprisait d'avance, et même la directrice elle s'en méfiait. Elle avait "besoin" d'elle pour un logis.

Elle ressortit sa baguette et la regarda, ce noir nacré était pratiquement comme la couleur de son coeur, et elle la rangea se disant qu'elle le brulerait plus tard, elle n'allait pas s'embêter avec. Elle n'avait pas que ça à faire, à faire joujou en remuant un bout de bois ! Il ne fallait pas la prendre pour ce qu'elle n'était pas !

"Je pourrais peut-être tenir un bar, cela ne me dérangerait pas." déclara-t-elle. "Et quels cours allez-vous nous "enseigner" ? Car nous sommes dans une école, je crois... Enfin, une "Ecole de sorcellerie".. Tss"

(dsl je suis un peu en retard)

Ursule n'en croyait pas ses yeux un hippogrife était devant elle! Il était devant elle et il était là pour elle. Il s'était posé si magestueusement qu'on eut dit une plume. La directrice était très surprenante, on eut dit qu'elle lisait dans ses pensées. Puis, elle sortit de sa rêverie car une légère brise montait tranquilement en elle et la transpersait de toute part.

Lorsqu'elle s'apprêta à entrer dans l'énorme château, un autre train arriva et ce qui en sortit lui fit froid dans le dos. C'était une jeune fille à peine plus âgée qu'elle mais son regard était vide d'expression. Son regard froid se tourna vers elle et Ursule sentit qu'elle l'évaluait. *Esperons simplement qu'elle n'ait pas une dans contre moi.* pensa-t-elle.

La jeune directrice fut heureuse que l'argent l'interressait. Elle s'y atttendait un peu qui refuserait de l'argent. Liona Sofly regarda la jeune fille virvolter dans les airs sur le dos de Poly. La créature atterit enfin et éfleura la tête de la directrice avec son aile. Bien sur, il avait fait exprès, car il adorait jouer des tours. Lorsqu'il atterit, il fit un clin d'oeil à la jeune dame qui lui renvoya.

"Mais, elle ne le ferait pas, car c'est un bête tout à fait indépendante" dit-elle à la jeune fille lorsqu'elle lui dit qu'il pouvait pratiquement tout faire.

Liona regarda la jeune fille s'approchait d'elle. Elle avait pitié de cette pauvre fille qui devait avoir une vie loin d'être heureuse. Elle se demandait se qui était arrivé à cette fille pour avoir en tout tant un visage si froid. Le fait qu'elle ai un katana iritait un peu la directrice. La peur qu'un élève innocent sois tranché par cette chose si sadique lui fesait un peu peur, mais elle savait quoi faire dans ses cas là. Gadiaka regarda la baguette que Liona lui avait montrer, en la maniant come si elle prenait un jouet pour enfant sans aucune utilité.

"Pour les vêtements, il va falloir que tu te les procures (lorsqu'il y aurait plus de boutique) avec l'argent que tu recevra lorsque tu travaillera" dit Liona. " Je t'avertie que tu ne tiendra pas un bar. Au dernière nouvelle, nous sommes dans une école de jeunes mineurs qui n'on pas les capacités de tenir un bar et tu ne fais pas exeption... je crois que tu te plairait dans un pub... mais avec un seul condition se katana reste dans son foureau."

La directrice était très sérieuse. Un pud pouvait avoir un lien avec les bars, mais en aucun cas, il y a de bar dans la voie des Groubiards. Gadiaka n'était pas du tout convaincu d'être dans un école de sorcellerie. Il va falloir qu'elle se fasse à cette idée, car dès qu'elle va mettre les pied dans le château, elle va être surpris en voyant de la vrai magie.

"Je vous conseil de garder cette baguette de bois... Elle vous sera très utile" dit-elle la directrice à la jeune rebelle. " Pour les cours, il y en a de toutes sorte; métamorphose, histoire de la magie, défense contre les forces du mal et beaucoup plus"

La jeune directrice savait bien que la jeune fille n'en croyait pas un mot. Mieux vallait l'en avertir qu'attendre qu'elle le découvre par elle même. Elle se tourna vers Ursule et lui sourit.

"Et si on se rendait au château...." dit-elle aux des filles.

"Mm..." répondit-elle.

Elle restait près de l'hyppogryffe qu'elle caressait de sa main. Elle se tourna et regarda la jeune fille qui était près de la directrice. Elle était jeune, plus jeune que Gadiaka, et petite. Elle semblait un peu faible, mais elle devait être comme les autres, c'est à dire totalement tarée, mais ce n'était rien face à cette adulte, cette... qui ? Elle ne lui avait pas dit son nom ou Gadiaka avait déjà oublié.

"Heu... Votre nom...?" hésita-t-elle.

Pour les vêtements, elle les commanderait dans une boutique normale, elle ne voulait même pas savoir, ni même acceptée de porter les mêmes vêtements que les autres gamins de la salle. Il ne fallait tout de même pas croire qu'elle était assez folle pour cela.

"Pour mon katana, tant qu'on m'énèrve pas. De toute manière ils ne méritent pas que je fasse quoique ce soit. Ne soyez pas si inquiète pour rien, je sais voir où j'ai intérêt."

Gadiaka lui demanda par la suite où était son fameux château. Elle se demandait bien comment il était, peut-être aussi délabré qu'était la directrice. Elle tourna la tête vers le train, le seul truc qui semblait normal dans les environs, même cette gare à ciel ouvert ne donner pas confiance à l'esprit aux aguets de Gadiaka. Elle rangea la "baguette" dans sa poche et écouta les différents cours dans lesquels elle n'irait pas.

"Pour moi, bar et pub c'est la même chose, il y a que le nom qui change m'd'moiselle."

(coucou!)

Lilas était un peu nerveuse. Elle regardait le paysage défiler devant elle. Par habitude, elle prit son pendentif dans ses mains. Ce petit geste insignifiant lui faisait pourtant le plus grand bien. Ça lui rappelait que son grand-père ne l'avait jamais vraiment laissé. Le train ralentit et finit par s'immobiliser. Rempli d'une nouvelle confiance en elle, Lilas prit ses bagages ert sorit du train la tête haute.

La gare fourmillait de jeunes enfants qui couraient en tout sens, surexcités. La jeune espagnole en invitant deux qui se pourchassaient. Lilas ne put s'empêcher de rire en voyant l'innoncence qui se dégageait d'eux. Lilas avança dans la gare et regarda autour d'elle. La première surprise fut les créatures qui attendaient sagement dans un enclos. Ils étaient un mélange de plusieurs animaux mais semblait pourtant être une espèce à part. Lilas localisa deux jeunes femmes au loin et une jeune fille. Elle décida de s'approcher, peut-être sauraient-elles où aller pour gagner le château.

"Excusez moi, pourriez-vous me dire où je pourrais trouver la directrice, ou à tout le moins quelqu'un qui puisses m'indiquer comment on re rend au château?"

Lilas regarda tour à tour le trio. La jeune fille semblait vivre les moments les plus heureux de sa vie. On dirait un enfant la veille de Noël! L'autre était une femme qui souriait et qui semblait prête à la renseigner. La dernière par contre avait le même âge que l'espagnole mais semblait plus mature. Son visage était fermé et méfiants. Apparement, elle avait vécu beaucoup plus de choses que Lilas n'en vivraient dans toute sa vie. Il y avait aussi un katana accroché à la ceinture.

"Magnifique arme!"s'exclama Lilas"C'est la première fois que j'en vois un pour vrai. Vous avez de la chance.

Lilas sourit à l'étrangère en noire et retourna son attention vers l'autre femme.

Gadiaka qui s'apprêtait à monter sur l'hyppogriffe de nouveau ne le fit pas à la venue de la jeune fille qui les interpella. Elle parraissait avoir pratiquement son âge, mais semblait plus fillette, plus effeminée, plus ouverte que l'était Gadiaka, sans un sourire elle se tourna vers elle et la regarda de ses yeux durs et froids. Lorsque la jeune fille lui parla de son arme comme "Magnifique arme." elle lui répondit franchement :

"Ce n'est pas l'avis de ceux qui l'ont déjà rencontré avant crois-moi, mais j'avous qu'avoir cette arme est un privilège pour moi, car elle est l'unique en son genre, si ça t'interresse, ce katana est "Seryu" l'un des quatre sacrés katanas, mais je n't'en dirais pas plus."

Elle examina la jeune fille dans tout ces contours. Elle aussi semblait, comme tout les autres petites filles, croire en cette "magie". Gadiaka semblait de plus en plus exaspéré par la situation, mais elle se dit qu'elle allait devoir s'y habituer. Elle lui répondit que la jeune femme qui se trouvait à côté d'elle était la directrice.

"Quant au château il faut que tu empreintes ces créatures que sont les hyppogriffes pour y acceder, je pense qu'il connaisse le chemin. N'est-ce pas mademoiselle ?" demanda-t-elle à la directrice. "C'est là, la seule chose intéressante et qui me semble plus normale que les humains mêmes si tu veux mon avis."

La jeune fille qui se trouvait là devant elle, la nouvelle arrivante, tourna son attention vers la directrice, et Gadiaka en profita pour monter sur l'hyppogriffe et s'envoler dans les airs en attendant la suite. Hypo tourna autour d'eux et faisait toutes sortes de virevolt pour esperer effrayer Gadiaka qui restait pourtant de marbre, bien qu'elle ressentait un plaisir à faire ces cabrioles. Surtout qu'Hypo pour s'amuser froler les nouveaux élèves en volant à basse altitude, et Gadiaka le laisser faire à sa guise.

Lilas, qui s'intéressait beaucoup aux épées, particulièrement aux katanas, fut étonnée d'apprendre que c'était un katana Seryu.

"Étonnant! Quant aux gens qu'ils l'ont rencontrés auparavant et ne l'ont pas aimé, je crois que cela dépend avant tout de la manière dont ils l'ont rencontré n'est-pas?" ajouta Lilas, une lueur de malice brillant au fond de ses yeux, avant que la jeune femme n'enfourche une des créatures. "Je comprends que vous ne m'en dites pas plus, j'aurais été étonnée du contraire. Merci pour le renseignement.

Lilas regarda la fille aux cehveux rouges s'envoler et faire des voltiges dans les airs avant de se tourner vers la directrice.

"Bonjour! J'ignorais que vous acueilleriez les élèves vous-même. Donc pour aller au château, il faut emprunter un des ces...hyppogriffes?"

Lilas semblait être tout à fait à l'aise dans cet environnement étrange, mais en faite, elle était complètement abasourdie par tout ce qu'elle voyait. Évidement, elle ne le laissait pas paraître, mais elle ne put s'empêcher de toucher à nouveau son pendentif en forme de colombe pour garder contenance.

Du coin de l'oeil, elle observait l'autre jeune femme. Elle n'avait encore rien dit mais semblait tout à fait dans son élément. À voir son sourire et ses yeux pétiller, personne n'aurait pu croire qu'elle était étrangère à ce monde.

L'attention de Lilas se focalisa à nouveau sur la directrice.

"Moi c'est Lilas. Je dois vous avouez que j'éprouve une certaine apréhension à monter un de ces hyppogriffes. Mais je suis ouverte à toute nouvelle aventure alors... Donnez m'en un et je me rendrai à l'école en un rien de temps!"

Lilas sourit.

La lettre ne mentait pas lorsqu'elle spécifiait qu'une autre vie débutait ici!

Merci...c'est l'habitude.
J'édite dans les secondes qui suivent.

[Met HS devant le hors sujet ^^]

Gadiaka ne prit pas la peine de répondre à la phrase de Lilas, comme elle disait. Et elle en avait marre d'attendre la directrice, car celle-ci ne semblait pas se décidait à lui répondre. Elle tourna encore un peu attendant cinq minutes qu'elle se disait puis... Elle dit à l'hyppogriffe de la conduire au château, et celui-ci ne répondit qu'après avoir encore froller des gamins en tout genre. Il prit soudain de l'altitude et s'apprêtait à aller au château. Il tourna vers la droite et battit de ses grandes ailes. C'est ainsi que Gadiaka et Hypo disparurent du ciel de la gare. Elle fut soulagée d'apercevoir un paysage qui semblait normal à première vue.

Ils traversèrent des lacs, et pleins de paysages. Apparement le château n'était pas tout prêt. Gadiaka essayait de l'imaginer, en toutes formes, ne savant pas à quoi s'attendre en détails, les manières changeaient au fur et à mesure que le paysage évoluait. L'hypogriffe descendit et plana sur une surface d'une plaine, Gadiaka eut donc une vue incroyable. Des étendues de natures, sans aucune construction humaine. Comment cela était possible ? Gadiaka n'eut pas le temps d'y réfléchir qu'ils reprenaient de l'altitude afin d'éviter une forêt.

Cinq minutes de vol passèrent, et on pouvait appercevoir au loin le château se dessiner. Il était assez imposant comme château. Mais Gadiaka ne le voyait pas très très bien. A l'opposé du château se décinait un petit village, un tout petit village. Gadiaka se dit que si un jour elle avait besoin de s'enfuir pour elle-ne-sait quelle raison, elle irait se réfugier là-bas. Le château se rapprochait, il parraissait immense. Gadiaka sentait qu'elle n'était pourtant pas au bout de ses peines, et qu'une fois franchie ces portes -qu'elle ne voyait pas encore - elle ne pourrait plus refaire machine arrière. Mais c'était le risque à prendre en acceptant de venir. Elle se dit qu'elle s'avait trop bien se défendre pour s'arrêter là. Elle continua sur le dos de l'hyppogriffe qui commencait alors à descendre peu à peu. Ils arrivèrent alors devant les portes immenses du château, et Gadiaka remercia d'un geste de la tête Hypo qui avait fait vite. Elle mit une main sur l'un des volets de la porte, et celui-ci s'ouvrit. Gadiaka n'hésita pas et entra à l'intérieur...

(Désolé c'est cour...)

Ambre regarda les paysages à la fenêtre du train. Quand enfin elle le sentit s'arrêter elle descendit et se sentit un peu perdue dans ce nouvel univers qui s'ouvrait à elle comme une porte que l'on ouvre à son hôte.
Elle regarda le quai et leva un peu son regard vers le chateau qu'elle apercevait au loin. Où devait-elle aller maintenant? Vers le chateau? Et si ce n'était pas ça... et si... Plein de questions, de suppositions, tourbillonaient dans sa tête. Bien que ne sachant pas trop où aller Ambre s'avança un peu sur le quai. Un loup sortit du train et la regarda. Ambre lui lança un regard qui en disait long
*Franchement quelle idée de m'ammener ici
-C'est pour ton bien et celui des autres
-Ouais ouais* grommela-t-elle.
Ambre coupa la communication avec ce loup. Elle avait toujours un peu de mal à s'habituer au fait qu'elle parlait à un loup! Elle s'accorda un dernier regard autour d'elle avant de remonter dans le train qui l'avait conduite jusqu'ici et d'en ressortir avec deux valises. Ambre se demandait toujours comment elle avait fait pour remplir deux valises alors qu'elle ne possédait presque rien. Elle haussa les épaules. Elle se poser toujours des questions inutiles.
Ambre chercha quelqu'un qui pourrait la renseigner sur l'endroit où elle se trouvait

Ne voyant personne arriver Ambre commença à paniquer
*Et si je m'était trompée d'endroit!* pensa-t-elle.
La jeune fille, seule, sur la quai regarda autour d'elle. Ce n'était pas possible qu'il n'y ai personne. Quelqu'un finirait par arriver elle en était sûr.
En attendant elle s'assit sur l'une de ses valises et regarda les tours qu'elle apercevait au loin. Ses tours ne pouvaient qu'appartenir à un chateau sinon à quoi appartiendrait-elle? Peut'être que c'était un donjon qui renfermait des prisonniers agonisants, hurlant de douleur et de peur. A cette pensée Ambre frissona. Pourvu que se ne soit pas ça, pourvu qu'elle se tromper. La jeune fille ne tenait pas à se retrouver face à un prisonniers qui lui tendrait sa main squelettique en murmurant des paroles incompréansible pour le langage. Rendu fou à cause de cette torture, de cette privation de nourriture forcée. Ambre priait ne silence que tout ce qu'elle pensait n'était que pur fruit de son imagination. Mais... mais peut'être qu'un homme énorme surgirait, trainant derrière lui une immense hache lui servant à découper quelques têtes quand l'envie lui prenait. Peut'être... peut'être que l'homme la saisirait par le poignet de ses doigts crasseux et qu'il la trainerait de force jusque dans la tour que tout le monde aurait surmonné le tour des lamentations.... Non! Elle se trompait forcément et un homme ou une femme normal surgirait et se serait lui qui la conduirait vers un merveilleux chateau.
Ne pouvant deviner laquelle des deux options seraient la bonne Ambre attendit que quelqu'un arrive....

Ursule observait, comme toujours. Elle adorait deviné les pensées des gens mais s'était comme un défi ou même une obligation. Elle avait besoin de savoir qui était devant elle, à qui elle s'adressait et essayerais dans la plupart des cas de s'en faire des amis. Elle devinait la caractère de chaque personne seulement en regardant son accoutrement, ses gestes et plusieurs autres détails qu'elle était presque la seule à maîtriser. Derrière son air de jeune fille naïve se cachait une louve prête à toutes éventualités depuis qu'elle avait reçu la lettre de Flythia.

Ursule remarqua en particulier une fille, sûre d’elle-même elle avançait sans hâte mais ses genoux la trahissait, ils tremblaient légèrement. Elle s’avança vers cette étrangère avec la conviction qu’elle serait une bonne amie mais lorsqu’elle l’atteint, la jeune fille grimpa sur le dos d’un hippogriffe et fila vers le château.

**Dommage, espérons que je la recroise de nouveau. Je devrais commencé à rencontrer les personnes de ma maison.** pensa-t-elle.

Puis, elle s’avança vers un autre hippogriffe que la directrice lui avait assigné un peu plus tôt et l’enfourcha d’un geste souple et gracieux. Sur ce, elle s’envola sur le dos de l’hippogriffe vers sa prochaine demeure.

[Ambre, nous n'acceptons pas vraiment d'avoir des doubles post il faut cliquer sur éditer et rajouter le texte en question merçi de tenir compte de cet avertissement par la suite merçi]

(désolé c'est court mais mon amie s'impatiente à côté de moi...)

Lilas regarda la directrice en attendant une réponse, qui ne vint pas. Alors, la jeune espagnole repensa aux hippogriffes. Elle avai vu la jeune japonnaise s'envoler evec quelques instants plus tôt. Et maintenant, l'autre jeune femme, celle qui était restée silencieuse tout le long de l'entretien, venait de s'envoler avec l'un d'entre eux.

S'impatientant, Lilas tourna le dos à la directrice, et se dirigea résolument vers l'enclos. Plusieurs hippogriffes piaffaient et tournaient en rond, sauf un. Grand et majestueux, un hippogriffes se tenait droit et fier dans le fond de l'enclos.

Leurs regards se croisèrent et le contact fut immédiat. L'animal s'avança lentement et inclina la tête sur le côté en dévisageant Lilas. Après plusieurs minutes, Lilas tendit sa main et carressa la tête de l'hippogriffe. Sans qu'elle ait à dire quoi que ce soit, l'animal sortit de l'enclos et se plaça devant Lilas. Sans hésitation, l'espagnole grimpa sur l'hippogrffe et s'envola pour le château.

(Merci Gadiaka)
Liona regarda chaque élèves partir sur leur hyppogriffe. Au moins, ils étaient autonome. Elle regarda l'ensemble de la gare, il n'y avais plus personne, sauf un jeune fille assise sur sa valise sur le quai. La directrice s'approcha d'elle et vie dans son visage de la peur. La jeune direcrcie dit de sa voix la plus douce possible:

"Bonjour jeune fille, qu'attendez vous ainsi. Venez l'école vous attend. Je suis Liona Sofly votre directrice."

Elle prit les valises de la jeune fille le donna à un elfe qui disparut avec ses bagages.

"Il sera dans votre dortoir lors de votre arrivé"

Liona pointa l'enclos.

"Si vous voulez me suivre"